Metronews a fait le tour de la presse internationale et vous livre le fait divers du jour...
Les médias russes la surnomment "La maman monstre". Alyona Ipatova, 19 ans, a été condamnée par le tribunal de Saint-Pétersbourg à dix ans de travaux forcés pour avoir laissé sa petite fille de 5 mois mourir de faim, rapporte le Mirror.
L'accusée a admis avoir laissé sa petite fille seule dans son appartement durant... quatorze jours. Et si elle s'est absentée si longtemps, c'était tout simplement pour aller faire la fête. Quand elle est revenue chez elle après deux semaines, il était bien sûr trop tard pour sa petite fille, dont elle a trouvé le corps sans vie.
Meurtre avec cruauté
A son procès, la jeune femme a exprimé des regrets : "Je regrette ce que j'ai fait. Je n'ai pas voulu que ça arrive. Je réalise ce que j'ai fait". Son avocat a assuré qu'elle avait demandé au père de l'enfant de venir la surveiller. Tout en reconnaissant que même quand celui-ci n'était pas disponible, il arrivait à la mère de laisser son enfant mais qu'elle rentrait d'habitude au petit matin.
Ignorant les arguments de la défense, qui plaidait une négligence ayant entraîné la mort, le tribunal a condamné la jeune femme pour "meurtre sur mineur avec cruauté".
Les médias russes la surnomment "La maman monstre". Alyona Ipatova, 19 ans, a été condamnée par le tribunal de Saint-Pétersbourg à dix ans de travaux forcés pour avoir laissé sa petite fille de 5 mois mourir de faim, rapporte le Mirror.
L'accusée a admis avoir laissé sa petite fille seule dans son appartement durant... quatorze jours. Et si elle s'est absentée si longtemps, c'était tout simplement pour aller faire la fête. Quand elle est revenue chez elle après deux semaines, il était bien sûr trop tard pour sa petite fille, dont elle a trouvé le corps sans vie.
Meurtre avec cruauté
A son procès, la jeune femme a exprimé des regrets : "Je regrette ce que j'ai fait. Je n'ai pas voulu que ça arrive. Je réalise ce que j'ai fait". Son avocat a assuré qu'elle avait demandé au père de l'enfant de venir la surveiller. Tout en reconnaissant que même quand celui-ci n'était pas disponible, il arrivait à la mère de laisser son enfant mais qu'elle rentrait d'habitude au petit matin.
Ignorant les arguments de la défense, qui plaidait une négligence ayant entraîné la mort, le tribunal a condamné la jeune femme pour "meurtre sur mineur avec cruauté".
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